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Les Logiciels Libres
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L’association CercLL vous donne rendez-vous pour les Logiciels Libres, avec l’ April le
21 octobre 2017 au Foyer du Peuple 50 rue Brandis 13005 Marseille à 15h00.
Les logiciels Libres représentent un enjeu majeur, autant dans la maîtrise des outils qu’on utilise au quotidien.
Quel est donc le projet de société que délimitent les logiciels Libres, et en quoi cette question est-elle fondamentale dans notre démocratie ?
C’est à ces questions que répondront Magali Garnero, Jean-Christophe Becquet (sous réserve) secrétaire et président de l’April, association que l’on ne présente plus.
Suite à ces échanges un apéro est prévu.
Entrée Libre.Tout Public.
Source cercll
Conférence de Jean-Christophe Becquet à Gardanne (13)
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Jean-Christophe Becquet, animera une conférence, mardi 31 janvier 2017 à la Médiathèque Nelson Mandela, boulevard Paul Cézanne à Gardanne (13)
Les logiciels libres sont nés sous l’impulsion de Richard Stallman, dans les années 80. Ils sont définis comme conférant à leurs utilisateurs quatre libertés fondamentales : liberté d’exécuter le programme, liberté d’étudier le fonctionnement du programme, liberté de redistribuer des copies du programme et liberté d’améliorer le programme et de distribuer ces améliorations au public. Les logiciels libres représentent aujourd’hui un enjeu majeur, autant dans la maîtrise des outils qu’on utilise au quotidien que dans la communauté qui en découle.
Quel est donc le projet de société qu’ils délimitent, et en quoi cette question est-elle fondamentale dans notre démocratie ? C’est à ces questions que répondra Jean-Christophe Becquet de l’association April, principale organisation de défense des logiciels libres en France, qui vient de fêter ses 20 ans.
Source april.org
Apéro Libre : Les 20 ans d’April
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L’association ULLM (les Utillisateurs de Logiciels Libres du Pays Martégal) en collaboration avec ECM vous présente le programme de ses ateliers du troisième trimestre 2016.
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Cycle comment faire … avec des logiciels libres ce que je fais
habituellement avec des logiciels propriétaires?
Responsable Alain Riffart
Le jeudi 29 septembre de 16h30 à 18h30
Présentation du cycle de 3 séances.Propositions des participants.
- faire avec un traitement de textes?
- faire avec un tableur?
- faire avec un traitement d’images?
- faire pour envoyer et recevoir de mails?, etc.
Présentation des logiciels existants sous Linux qui permettent de faire la même chose que …
Entrée Libre. Tout Public.
Jeudi 6 octobre 2016 de 16h30 à 18h30
En fonction des choix exprimés par le public lors de la séance du 29 septembre, nous accompagnerons
les participants pour leur faire découvrir les possibilités offertes par les logiciels libres.
Jeudi 13 octobre 2016 de 16h30 à 18h30
En fonction des choix exprimés par le public lors de la séance du 29 septembre, nous accompagnerons
les participants pour leur faire découvrir les possibilités offertes par les logiciels libres.
Jeudi 3 novembre 2016 de 16h30 à 18h30
Conclusion (provisoire) sur le cycle Comment faire?
Cycle traitement de la photographie
Responsable Marc Guelle
Jeudi 10 novembre 2016 de 16h30 à 18h15
Les capteurs des appareils photographique
Jeudi 17 novembre 2016 de 16h30 à 18h15
Traitements des formats physique et numérique avec Gimp.
Jeudi 24 novembre 2016 de 16h30 à 18h15
Comment améliorer les photos numériques avec Gimp.
Cycle le livre numérique
Responsable Alain Riffart
Jeudi 1er décembre 2016 de 16h30 à 18h15
Qu’est-ce qu’un livre numérique?
Formats, organisation…
jeudi 8 décembre 2016 de 16h30 à 18h15
Les outils de lecture sous Linux et les tablettes.
jeudi 15 décembre 2016 de 16h30 à 18h15
Créer, modifier des livres numériques
Le ministère de l’Éducation assigné en justice pour son partenariat avec Microsoft
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La convention de « partenariat » liant le ministère de l’Éducation nationale et Microsoft sera bientôt débattue devant la justice. Le collectif EduNathon, pour qui il s’agit en réalité d’un marché public déguisé, a déposé aujourd’hui un référé auprès du tribunal de grande instance de Paris. Une audience est prévue pour le 8 septembre.
Faute d’avoir obtenu gain de cause suite à leur recours gracieux du mois de janvier, le Conseil national du logiciel libre, les associations PLOSS Rhône-Alpes, « La Mouette » et ALDIL ont décidé de passer à l’étape suivante. Leur cible : l’accord conclu le 30 novembre 2015 entre la Rue de Grenelle, représentée par la ministre Najat Vallaud-Belkacem, et Microsoft, géant américain du logiciel propriétaire (PDF).
Dans le cadre du plan pour le numérique à l’école, dont le coup d’envoi doit être donné à la rentrée, la firme de Redmond s’est engagée à proposer (gratuitement) différentes formations aux agents de l’Éducation nationale – en lien bien entendu avec l’utilisation de ses produits. L’accord prévoit d’autre part que Microsoft mette à la disposition de tous les établissements qui le souhaitent sa solution Office 365 Education. Au programme : les célèbres logiciels Word, Excel et PowerPoint, dans leur version cloud (non installée sur ordinateur). Un espace de stockage OneDrive de 1 To est également de la partie.
Une gratuité qui attise les soupçons
« Présentés comme « gratuits » dans l’accord, il apparaît que le prix de ces produits et services a en réalité été dissimulé afin d’échapper aux prescriptions (…) du Code des marchés publics », accuse le collectif EduNathon au travers de son assignation, que Next INpact a pu consulter. L’organisation cite un communiqué de Microsoft, dans lequel l’entreprise américaine explique que 13 millions d’euros seront « investis » dans le cadre de ce partenariat « pour le développement du numérique éducatif ».
Pour les plaignants, ce que la société de Bill Gates « accepte de ne pas réclamer d’un côté, elle s’apprête à le récupérer de l’autre ». Et pour cause, celle-ci va « désormais pouvoir proposer ses produits et services de façon extrêmement privilégiée par rapport à ses concurrents, au moment même où le ministère de l’Éducation nationale lance le Plan Numérique à l’École, prévoyant ainsi un surcroit d’investissement dans ce secteur ».
Tentative de contourner le Code des marchés publics
L’enjeu de ce recours ? Faire reconnaître la nullité du contrat (au motif qu’aucun prix n’a été fixé), ainsi que les dommages portés aux acteurs français du numérique éducatif. « En étant privés de pouvoir proposer leurs produits et services », les membres des associations du collectif EduNathon estiment avoir subi un « préjudice grave ». On peut imaginer qu’une mise en concurrence aurait effectivement pu permettre à certains professionnels de proposer des alternatives – pourquoi pas basées sur des logiciels libres tels que Libre Office…
« Une fois que les enseignants ou les personnels de l’éducation auront été formés ou habitués à un outil ou à une méthode, ceux-ci seront d’autant plus enclins à les privilégier dans le futur », poursuivent les plaignants. Leur assignation insiste sur le fait qu’il est difficile « de demander à quelqu’un de refaire une formation en bureautique quand il a déjà été formé aux outils d’un logiciel spécifique » ou « de demander à une institution de faire migrer ses données vers un autre cloud quand elle s’est habituée à un serveur spécifique »…
Cet argument est d’ailleurs invoqué pour demander au tribunal de grande instance de se prononcer en urgence, dans le cadre d’un référé d’heure à heure – une procédure assez rare, qui nécessite d’obtenir au préalable le feu vert du président du tribunal de grande instance. « Une fois la rentrée 2016 passée, il sera trop tard pour changer les formations ou pour mettre fin à l’utilisation des produits et des services qui auront été décidés à tort dans le cadre de ce contrat » martèle l’assignation.
Une suspension d’urgence, en attendant l’annulation
Le collectif EduNathon exige la suspension du « partenariat » entre Microsoft et le ministère de l’Éducation nationale, « dans l’attente de son annulation pour nullité absolue ». Il réclame également 12 000 euros au titre de ses frais de justice. Les deux acteurs pointés du doigt sont cités à comparaître le jeudi 8 septembre, à 9h30, devant le tribunal de grande instance de Paris. Les attaquants n’ont pas jugé bon de saisir le tribunal administratif, au motif que l’accord litigieux ne remplissait à leurs yeux « aucun des critères du contrat administratif ».
Ils espèrent que cette affaire serve d’exemple :
« Si cette convention était valide, cela signifierait qu’un marché peut être accordé à un acteur sans appel d’offre ni mise en concurrence, privant ainsi tous ses concurrents de la possibilité de concourir et de proposer leurs produits et leurs services – même pour des sommes aussi importantes que 13 millions d’euros. Ce serait la possibilité pour tous les grands groupes désireux d’échapper aux contraintes des marchés publics de décider de donner leurs produits et services à l’État – voitures, prestations de restauration, communication, etc. À charge pour eux de correctement exploiter les avantages directs et indirects qu’ils en retirent, mais avec la garantie immédiate que leurs concurrents de plus petite taille seront incapables de réaliser ces investissements et se retrouveront exclus de fait de ces marchés. »
Contacté fin juillet pour savoir pourquoi il n’avait donné aucune suite au recours gracieux du collectif EduNathon, le ministère de l’Éducation nationale expliquait avoir considéré que les arguments exposés « ne remettaient pas en cause la régularité de l’accord passé avec Microsoft ». Il se peut que la Rue de Grenelle ait à étoffer son argumentation face au juge en charge de l’affaire…
Source nextinpact.com
LibreOffice au rapport en Italie
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Les services militaires italiens migrent vers LibreOffice pour remplacer la suite bureautique de Microsoft.
LibreOffice va être installé dans tous les services de l’armée : c’est la plus grande migration effectuée en Italie à ce jour. Pour le moment, 5.000 postes ont été installés, et en 2020, ils devraient passer à 100 mille.
Le format ouvert ODF devient le format par défaut à utiliser dans les Ministères. Des séminaires ont été organisés afin de bien préparer cette migration et tout est documenté afin de pouvoir servir pour de futures migrations dans d’autres Ministères. Même la formation des utilisateurs est prise en compte, via un accord avec l’association LibreItalia.
Cela n’a rien coûté aux services de l’armée. Le Ministère pense pouvoir économiser pendant la migration, qui va durer 4 ans, entre 26 et 29 millions d’euros.
En France, l’armée a toujours des contrats avec Microsoft, notamment pour sa suite Office. Et il n’y a pas de priorité aux logiciels libres, mais un simple encouragement. Une vision plus agnostique du débat, entre solutions libres et propriétaires.
Liens :
Plus d’informations sur ZDNet
Projet de Loi République Numérique
Source toolinux.com
Projet de loi numérique : des codes sources communicables sous conditions et des logiciels libres simplement encouragés
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La commission mixte paritaire (CMP) pour le projet de loi pour une « République numérique » réunie le 29 juin a été conclusive, un texte commun ayant été adopté. Texte dans lequel la commission confirme l’ouverture par défaut des codes sources des logiciels des administrations, toujours limitée par une exception très large de « sécurité des systèmes d’information », et maintient une disposition d’ « encouragement » au logiciel libre dans le secteur public dénuée de portée normative.
Article 1er bis : ouverture des codes sources, mais une exception sous forme de blanc-seing
La rédaction finale de l’article 1er bis entérine la reconnaissance de la qualité de documents administratifs communicables pour les codes sources des logiciels des administrations. S’il s’agit d’une avancée réelle en termes d’ouverture et de transparence, le troisième alinéa de l’article introduit une exception à la communicabilité des documents administratifs en cas de risque d’atteinte « à la sécurité des systèmes d’information des administrations ». Exception disproportionnée, ancrée dans le fantasme de la sécurité par l’obscurité et qui porte le risque de vider l’avancée de cet article de sa substance.
Par ailleurs, la CMP est fort heureusement revenue sur un amendement adopté au Sénat, qui instaurait une exclusion systématique de certains codes sources du champ du droit à communication. Exception dangereuse contre laquelle l’April s’est mobilisée auprès des parlementaires.
Notons également que l’article 1er ter du projet de loi, tel qu’il est issu de la CMP, instaure que la communication de documents administratifs sous forme électronique « se fait dans un standard ouvert, aisément réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé ». Une rédaction à saluer et qui prend d’autant plus de sens avec la récente révision du référentiel général d’interopérabilité le 25 avril 2016.
Article 9 ter : une simple « déclaration de bonnes intentions » sur le logiciel libre
À compter de l’entrée en vigueur de la loi, les administrations devront encourager « l’utilisation des logiciels libres et des formats ouverts lors du développement, de l’achat ou de l’utilisation, de tout ou partie, de ces systèmes d’information ». Cette disposition souffre d’un manque flagrant de portée politique, est dénuée de toute portée contraignante et n’est assurément pas à la hauteur des enjeux. Seule une réelle priorité au logiciel libre dans le secteur public est à même de garantir l’indépendance technologique des administrations et leur souveraineté numérique. Priorité qui correspond à l’obligation d’un choix raisonné de privilégier le recours à une licence libre quand cela est possible, et selon des critères objectivement définis par décret.
Malgré la qualité des débats autour de cet article, tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat, le Parlement et le Gouvernement ont manqué cette occasion de doter les administrations d’une informatique loyale en faveur de l’intérêt général.
Le texte issu de la CMP est disponible. La prochaine étape est la présentation des conclusions de la CMP, suivie du vote définitif, dans les deux chambres parlementaires. D’abord à l’Assemblée nationale, le 20 juillet, puis au Sénat la première quinzaine de septembre.
Les articles 1er bis et 9 ter tels qu’ils devraient être votés dans le texte final :
Article 1er bis
I. – À la seconde phrase du premier alinéa de l’article L. 300-2 du code des relations entre le public et l’administration, après le mot : « prévisions », sont insérés les mots : « , codes sources ».
II. – Le 2° de l’article L. 311-5 du code des relations entre le public et l’administration est ainsi modifié :
1° À la fin du d, les mots : « ou à la sécurité des personnes » sont remplacés par les mots : « , à la sécurité des personnes ou à la sécurité des systèmes d’information des administrations » ;
2° Le g est ainsi rédigé :
« g) À la recherche et à la prévention, par les services compétents, d’infractions de toute nature ; ».
Article 9 ter
Les administrations mentionnées au premier alinéa de l’article L. 300-2 du code des relations entre le public et l’administration veillent à préserver la maîtrise, la pérennité et l’indépendance de leurs systèmes d’information.
Elles encouragent l’utilisation des logiciels libres et des formats ouverts lors du développement, de l’achat ou de l’utilisation, de tout ou partie, de ces systèmes d’information. Elles encouragent la migration de l’ensemble des composants de ces systèmes d’information vers le protocole IPV6, sous réserve de leur compatibilité, à compter du 1er janvier 2018.
Source april.org
Quand Microsoft instrumentalise l’Éducation Nationale
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Autant il est courant de reprendre des citations d’écrivains, philosophes, personnalités politiques, autant il est invraisemblable de voir des décideurs de l’Éducation Nationale utilisés comme caution morale par la société Microsoft dans un marketing ambigu en direction du monde de l’éducation faisant suite au partenariat contesté signé en novembre 2015. Même s’il semble clair que le Ministère n’ait pas été acteur de cette campagne qui l’instrumentalise, cela renforce ce que nous dénoncions à savoir sa mise sous tutelle par cette entreprise américaine qui se poursuit au détriment d’une formation à l’informatique indépendante pour nos élèves qui ne peut se faire qu’en utilisant des logiciels libres et des formats ouverts.
Pour rappel, le texte intégral de l’accord, disponible sur le site de l’Éducation Nationale, présente plusieurs axes, dont la formation des enseignants à la maîtrise des environnements Microsoft en classe, la mise à disposition d’un écosystème Cloud, d’une plateforme de formation à distance. L’apprentissage du code se fera aussi sous l’égide de l’entreprise américaine. Cet accord prévoit aussi la formation de « décideurs de haut niveau » au sein des services du Ministère ou des académies. Il est également prévu de former 2500 chefs d’établissements.
Ce partenariat ressemble fort à un traité d’occupation de l’École numérique réalisé de plus sans consultation des acteurs de l’éducation. En interne la société peut compter sur de nombreux relais, souvent des enseignants en exercice, qu’elle regroupe dans un réseau nommé : « Microsoft Innovative Educator (MIE) Expert ».
Parmi les axes de ce partenariat ne figuraient pas les aspects liés au marketing. C’est désormais chose faite via le compte Twitter de Microsoft Education France qui semble considérer qu’elle a acquis tous les droits sur l’image et les propos des ministres français.
Voici un premier message avec Catherine Becchetti Bizot, Inspectrice générale de l’éducation nationale, chargée de mission numérique et surtout ancienne directrice du numérique pour l’éducation :
Voici un autre avec Thierry Mandon, Secrétaire d’État chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche :
Même Mme la Ministre Najat Vallaud-Belkacem se retrouve instrumentalisée :
Au-delà d’un marketing qui entretient volontiers la confusion, il est navrant de voir la direction prise par l’École dite numérique alors que nombre de personnels ont signé notre appel en faveur de l’utilisation des formats ouverts et ont dénoncé ce partenariat le tout sans réelle réponse de la part du Ministère. Il serait d’ailleurs intéressant de connaître la position des personnalités publiques concernées sur cette instrumentalisation de leurs propos.
Et Rémi Boulle, vice-président de l’April, de se poser la question : « Mme la Ministre Najat Vallaud-Belkacem serait-elle la nouvelle égérie de Microsoft ? Il s’agit d’un montage réalisé par Microsoft mais qui nous rappelle la mauvaise direction prise par l’École numérique : des logiciels privateurs et des formats fermés éloignés de toute vision politique forte qui aurait le mérite de contribuer à structurer davantage le marché du logiciel libre pour l’éducation en France ».
Plus de six mois après la signature de ce partenariat, il serait intéressant d’avoir un premier bilan : combien de « décideurs de haut-niveau » ont été formés sur les produits Microsoft ? Combien de chefs d’établissements et d’enseignants formés aux environnements numériques proposés par Microsoft ?
Source april.org
XubEcol, la réponse à XP sur les bancs de l’école
La distribution XubEcol permet de remplacer, en milieu scolaire, les postes qui fonctionnaient sous Windows XP.
Le projet XubEcol est une distribution scolaire, pour les maternelles et primaires, qui permet aux écoles manquant de moyens d’avoir un système éducatif libre à moindre coût.
Les ordinateurs qui fonctionnaient sous Windows XP pourront donc continuer à fonctionner. Cette distribution est basée sur Xubuntu 16.04, une version LTS, qui est un système fiable, moderne et qui demande peu de ressources. De plus, elle a été personnalisée afin d’y ajouter du contenu et des ressources éducatives, elle dispose de plusieurs bureaux suivant son utilisation et de tous les outils d’administration nécessaires. Elle est paramétrable afin de pouvoir la configurer finement pour créer des sessions différentes, des filtres, ou encore installer des packs de logiciels spécifiques.
De plus, elle propose de nombreuses ressources éducatives en ligne, accessibles directement depuis le bureau et dispose de trois sessions, élève, professeur, directeur. Un outil libre vraiment utile donc pour l’éducation.
Liens :
Le site de XubEcol
La documentation en PDF
La page des téléchargements
Source toolinux.com