StopCovid : la CNIL met en demeure le ministère de la Santé de se conformer au RGPD

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Plusieurs irrégularités ont été décelées dans l’application de contact tracing, dont une deuxième version est déjà disponible.

L’application de contact tracing française n’est pas au bout de ses peines. Lors de ses travaux de vérification sur la nouvelle version de l’application StopCovid, la Cnil note que, si l’application respecte pour l’essentiel le RGPD et la loi Informatique et Libertés, elle soulève en revanche plusieurs irrégularités, notamment le recours au re-catcha Google dans l’information fournie au public et dans les contrats de sous-traitance.

Dans sa décision du 15 juillet 2020 rendue publique, l’autorité de régulation met le ministère des Solidarités et de la Santé en demeure d’y remédier dans un délai d’un mois.

StopCovid a été mise à jour à la suite des précédents contrôles réalisés par la Cnil au cours du mois de juin. Le régulateur avait en effet constaté dans la première version de l’application que l’adresse IP était régulièrement utilisée par le système de sécurité, dit anti-DDOS, déployé dans le cadre du service.

Si la première version de l’application faisait remonter l’ensemble de l’historique de contacts des utilisateurs au serveur central (et non les seuls contacts les plus susceptibles d’avoir été exposés au virus), la Cnil précise que ce problème est à présent résolu dans la nouvelle version déployée fin juin (version v1.1). « D’une part, la méthode d’authentification par captcha – qui permet de vérifier lors de l’activation initiale de l’application que cette dernière est utilisée par un être humain – qui reposait sur la technologie reCaptcha de la société Google, est désormais remplacée par la technologie captcha développée par la société Orange. D’autre part, une fonction de pré-filtre de l’historique des contacts de l’utilisateur qui se déclare positif au virus SARS-CoV-2, fondée sur des critères de durée et de distance du contact, est activée pour agir au niveau du téléphone de l’utilisateur. »

Mais l’autorité demande toutefois à ce que cette nouvelle version soit « généralisée à tous les utilisateurs de StopCovid » car à ce jour, les deux versions coexistent.

Manquement à l’obligation d’information

L’autorité estime aussi que certaines informations mériteraient d’être mentionnées. La Cnil constate en effet que l’information fournie aux utilisateurs du service est « quasiment conforme aux exigences du RGPD » et devrait être complétée sur quelques points, à savoir « les destinataires de ces données, les opérations de lecture des informations présentes sur les équipements terminaux (réalisées via le recaptcha) et le droit de refuser ces opérations de lecture », explique-t-elle.

La Cnil affirme, par ailleurs, que l’analyse d’impact relative à la protection des données réalisée par le ministère demeure incomplète concernant les « traitements de données réalisés à des fins de sécurité » (solution anti-DDOS collectant l’adresse IP et recaptcha). Or, selon l’autorité indépendante, « dès lors que cette solution de sécurité entraîne une collecte de données à caractère personnel, la description de cette opération de traitement doit apparaître dans l’analyse d’impact réalisée par le responsable de traitement ».

L’application StopCovid avait fait l’objet de fortes réticences dès son lancement. Le nombre d’utilisateurs de l’application a peiné à décoller : deux semaines après son lancement, celui-ci avoisinait difficilement les 1,7 million (soit 2 % de la population). Un chiffre guère suffisant pour impacter véritablement le mode de vie des utilisateurs. Le service toucherait dorénavant « près de 2 millions d’utilisateurs », précise la Cnil.

Source zdnet.fr

Permanences de Mars

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Bonjour à toutes, à tous

Calendrier des permanences de Mars 2020:

À la Maison de la Vie Associative, de 16h00 à 18h00 les vendredis 6, 13, 20 et 27 Mars 2020, quai Lucien Toulmond 13500 Martigues.

 

Bien librement.

Daniel.

Après ProtonMail, la Russie interdit l’usage des emails chiffrés Tutanota

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Une forme de censure. C’est en ces termes que Tutanota, fournisseur de la messagerie Web chiffrée éponyme, condamne le blocage de ses services en Russie.

Depuis vendredi dernier, les utilisateurs russes de Tutanota sont dans l’incapacité d’accéder à leur boîte mail. Le même sort qu’a subi ProtonMail — un autre service d’emailing chiffré — le mois dernier dans le pays.

Les services de chiffrement censurés

Alors que le blocage de Tutanota n’a pas encore été motivé par Moscou, OONI Explorer, un outil agrégeant les domaines censurés par les gouvernements dans le monde, confirme l’inaccessibilité du service.

Tutanota est monté au créneau et dénonce une « énième privation d’un canal de communication sécurisé ». « Nous condamnons le blocage de Tutanota » peut-on lire sur le blog de la messagerie, qui rappelle à toutes fins utiles que ses services restent accessibles en Russie en utilisant un VPN ou le navigateur Tor.

Mais Tutanota n’est pas le seul service à tomber sous l’autorité du gouvernement de Vladimir Poutine. Le mois dernier, ProtonMail, le principal concurrent de Tutanota sur la messagerie Web chiffrée, a lui aussi été bloqué au prétexte que des hackers auraient utilisé le service pour envoyer de fausses alertes à la bombe.

Malgré les efforts de ProtonMail depuis, ses services n’ont pas été restaurés dans le pays. « Nous avons immédiatement fermé les comptes malveillants et avons contacté les autorités russes, aussi bien directement que via l’ambassade suisse de Moscou pour essayer de lever le blocage, écrit ProtonMail à PCMag. Malgré cela, nous n’avons jamais obtenu de réponse ».

Source clubic.com

 

Gaël Duval, l’adepte de Linux qui veut libérer les smartphones

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Face au duopole de Google et d’Apple sur les systèmes d’exploitation mobiles, ce Normand développe «/e/», un système d’exploitation affranchi des Gafam.

 

Pour rencontrer Gaël Duval, aucune adresse n’est spécifiée, aucun bureau, aucun espace de coworking. De son propre aveu, son lieu de travail, « c’est Internet ». Depuis son entrée à la fac dans les années 1990, toute la carrière de ce Normand de naissance s’est structurée autour de l’informatique. De ses premiers émois numériques, il a gardé des valeurs chères à de nombreux acteurs des débuts du Web : l’échange, l’accessibilité au plus grand nombre, la transparence.

Des idéaux que l’on retrouve dans son dernier projet en date, «/e/» (à prononcer « i »), un système d’exploitation (OS) pour mobile conçu pour garantir le respect de la vie privée de ses utilisateurs. Le but : proposer une solution de rechange solide aux deux systèmes d’exploitation pour mobile les plus utilisés au monde, Android (Google) et iOS (Apple), à l’heure où la défiance envers les grands empires du numérique ne cesse de gonfler.

Une passion de jeunesse pour les machines

Pour les connaisseurs, Gaël Duval est avant tout derrière l’une des premières distributions Linux « grand public » : Mandrake, lancée en juillet 1998. Mais sa passion pour les machines est largement antérieure. Dès 1983, il bidouillait quelques modestes programmes sur son premier micro-ordinateur, un Laser 200. Un engin rudimentaire, dépourvu de mémoire et d’interface graphique, mais qui provoque un choc chez le gamin seulement âgé de 10 ans.

« Un micro-ordinateur, c’est un truc qu’on ne voyait que dans les films ou les séries » Gaël Duval

Il grandit en dévorant les revues spécialisées fournies par Alfred, son grand-père, qui s’intéresse lui aussi à cette technologie balbutiante. Il y découvre des personnalités encore peu connues à l’époque, comme Steve Jobs ou Bill Gates. « C’était hyperexcitant », se souvient-il. « J’avais l’impression d’appartenir à une famille d’initiés. Un micro-ordinateur, c’est un truc qu’on ne voyait que dans les films ou les séries. »

Le second choc survient en 1990, alors qu’il accompagne un ami anglais dans le laboratoire de son père astrophysicien, à Cambridge. Il y assiste à un événement aussi inhabituel pour l’époque que banal de nos jours : l’envoi d’un e-mail. La possibilité de communiquer avec le monde entier lui fait tourner la tête.

Mandrake, une envie pressante d’entreprendre

C’est finalement pendant une licence en informatique qu’il découvre le système d’exploitation libre Linux, alors que Windows 95 commence à prendre une place importante dans les foyers. Avec son adaptabilité aux besoins de chacun, le noyau développé par Linus Torvalds séduit le jeune passionné d’interfaces graphiques.

« Je trouvais les produits de Microsoft inintéressants » Gaël Duval

Un choix plus pratique que politique selon lui : « Je trouvais les produits de Microsoft inintéressants ». Poussé par une envie pressante d’entreprendre, Gaël Duval entend démocratiser cet outil jusque-là surtout réservé aux bidouilleurs et développe Mandrake.

Dans un premier temps, ça ne prend pas du tout. Mais un court billet publié quelques semaines plus tard sur le site américain Slashdot va changer la donne. « Je suis parti en vacances deux semaines à Marseille », se souvient-il. « Un ami linuxien m’a contacté et m’a conseillé de trouver un moyen de vérifier mes mails. A mon retour, ma boîte contenait 350 messages. »

Choix stratégiques hasardeux

Six mois plus tard, en janvier 1999, Gaël Duval cofonde la société MandrakeSoft avec Frédéric Bastok et Jacques Le Marois. Ce dernier se souvient de débuts « folkloriques », livrant lui-même « des CD gravés à la main dans des enseignes spécialisées, comme Surcouf, dans le 10e arrondissement de Paris, à vélo ».

Mais en l’espace de quelques mois, les levées de fonds se multiplient, les partenariats commerciaux se mettent en place dans le monde entier et 150 salariés sont recrutés. Mandrake devient la distribution pour ordinateur de référence pour Linux.

« Avant Mandrake, je trouvais Linux et le logiciel libre passionnants en théorie, mais difficile dans la pratique », témoigne Alexis Kauffmann, qui cofondera plus tard l’association « libriste » Framasoft. « C’est cet outil qui a permis à des gens comme moi, non geek, simple prof de maths intéressé par les nouvelles technos, de découvrir et d’utiliser Linux pour la première fois. L’installation était considérablement simplifiée, il tournait sur davantage d’ordinateurs et s’ouvrait sur un environnement graphique ressemblant à Windows. »

L’aventure Mandrake – devenu entre-temps Mandriva à la suite d’un procès mal négocié – se conclut en 2006 pour Gaël Duval. Minée par une gestion financière et des choix stratégiques hasardeux, la société doit réduire les coûts et se sépare de nombreux salariés, y compris de son cofondateur.

« La solution que tout le monde attendait »

Dans les années 2010, l’idée d’«/e/» vient à Gaël Duval avec en toile de fond les révélations d’Edward Snowden sur la surveillance numérique et la mise au premier plan du débat sur la protection des données personnelles. « J’avais aussi remarqué à titre personnel que je glissais de plus en plus du monde du libre vers le propriétaire, sans même m’en rendre compte », analyse-t-il :

« J’utilisais des outils Google, très pratiques, j’étais passé de Linux à Mac, j’avais un iPhone depuis 2007… Et un jour, lors d’une réunion de famille, j’ai pris mon père en photo avec son téléphone Android, qui lui a ensuite envoyé une notification pour avoir son avis sur le restaurant dans lequel on était. Je me suis dit “ce n’est pas possible, il y a quelque chose qui ne va pas”. »

Gaël Duval veut passer à l’action. En résulte l’« e Foundation », qu’il préside, dédiée à la diffusion d’un système d’exploitation open source pour appareils mobiles, qui met l’accent sur la protection de la vie privée de ses utilisateurs. La fondation compte une trentaine de collaborateurs, dont 25 indépendants à travers le monde, ainsi que de nombreux volontaires.

Pour son ancien collaborateur Jacques Le Marois, «/e/» est le fruit d’un cheminement similaire à Mandrake : « L’idée géniale de Gaël a été de créer la solution que tout le monde attendait. Il est simplement en train d’appliquer le même modèle sur le marché des OS mobiles. »

Aujourd’hui, «/e/» est toujours en version bêta depuis son lancement, en septembre  2018. L’OS ne compte aujourd’hui que 2 000 utilisateurs quotidiens, même s’il tourne sur 85 modèles. Le système n’étant pas encore stable, Gaël Duval ne vise pour le moment pas une clientèle grand public, mais invite déjà les personnes « sensibles à la protection des données personnelles, au développement durable et à tous ces enjeux colossaux » à lui donner une chance.

« Si tu ne peux pas utiliser Spotify ou Waze, c’est foutu »

Face au poids écrasant d’Android et d’iOS, le pari ne sera pas simple à réaliser. Avant «/e/», d’autres tentatives similaires ont déjà vu le jour : Firefox OS, Ubuntu Touch ou encore Tizen se sont cassé les dents.

L’erreur de ces projets, selon Gaël Duval : le manque d’applications disponibles. « Tu peux faire un OS plus léger qu’Android, plus fluide… Mais si tu ne peux pas utiliser Spotify ou Waze, c’est foutu. » Pour le moment, «/e/» étant basé sur Lineage, un système d’exploitation lui-même dérivé d’Android, les applications proposées sont celles qui existent déjà dans le Play Store (le catalogue d’applications d’Android). Elles sont cependant agrémentées d’un système de notation en fonction de leurs pratiques en matière de données personnelles.

Le problème est donc contourné… pour le moment. A terme, si l’OS gagne en popularité, les éditeurs d’applications pourraient bien se pencher sur ce système, et demander à ce que les applications redistribuées à partir du Play Store soient enlevées du catalogue de téléchargement d’«/e/». Il s’agit là du « plus gros enjeu du projet », estime M. Duval. Plusieurs voies de secours sont d’ores et déjà étudiées, notamment la mise en place d’accords avec les éditeurs, ou le recours aux applications Web, fonctionnant directement à travers un navigateur.

Source lemonde.fr

Assemblée Générale

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Assemblée Générale 18 Janvier 2018

Rapport Moral :
Dans l’article du Blog :https://ullm13.blogspot.com/p/blog-page_30.html il a été développé ce qui pourrait, quitte à passer pour prétentieux, notre profession de foi.
Tous les jours nous nous posons la même question le jeu en valait-il la chandelle. Et la réponse est toujours la même.
Nous nous armerons de patience et d’humilité.
Ça finira bien marcher !
SINON QUOI ?
Rapport d’activités :
Pour mettre en œuvre nos objectifs :
8 réunions de travail ont été organisées pour définir une Feuille de Route et suivre la progression des tâches attribuées aux membres du Bureau :
- l’inscription du nouveau Bureau en Préfecture,
- les démarches de régularisation auprès de la Banque et de l’Assurance,
- la préparation de l’AG du 18/01/2019,
les prises de contact avec la Médiathèque, la Maison de la vie Associative, le Rallumeur d’Étoiles, le médiateur en charge des ateliers OpenSteetMap à la Maison de la Formation, APRIL Marseille
l’ouverture de la nouvelle boîte mail de l’ULLM,
la mise à jour du carnet d’adresses Adhérents, Contacts extérieurs et Visiteurs
la mise en ligne et l’administration du Blog de l’Association
https://ullm13.blogspot.com/
le Site web existant http://www.ullm.org/ est toujours géré par Alain Riffart

Rapport financier :
Un rapport financier sur une période de trois mois est forcément succinct surtout pour des sommes avoirs aussi faibles.
Néanmoins voici ce qui ressort de l’analyse de ces quelques chiffres:

Réservé 400
Solde dispo au 1 oct 322,76
Resultat 4T18 130,26
Disponible au 15/1/2019 453,02

 

Solde de banque qui ne tient pas compte de l’émission d’un chèque de 400€ (AFUL) non encaissé à ce jour

Assemblée Générale Ordinaire de l’association ULLM

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Cette invitation à notre Assemblée Générale s’adresse à toute personne concernée par la survie de l’ULLM.

Elle se tiendra le 18 janvier 2019 à 18h à la Médiathèque de Martigues (Forum au RDC).

Après un bref compte-rendu de l’activité depuis le 11 octobre 2018, un point sur les finances (cotisations) et la présentation des orientations pour l’année, nous consacrerons un temps d’échange sur les attentes des uns et de autres.

Dans le but de renforcer notre équipe, nous faisons appel sans protocole aux bonnes volontés qui voudraient nous rejoindre.

Nous profiterons de ce temps fort pour nous souhaiter mutuellement une nouvelle année d’une fructueuse solidarité.

Rappel : Pour ne rien rater, consultez régulièrement : https://ullm13.blogspot.com/

Pour le Bureau, Martin Schell Président.

Procuration

 

Libre en Fête 2019 : le site est en ligne !

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Pour la dix-huitième année consécutive, l’April lance l’initiative Libre en Fête. Pour accompagner l’arrivée du printemps, des événements de découverte des logiciels libres et du Libre en général sont proposés partout en France autour du 20 mars, dans une dynamique conviviale et festive. L’édition 2019 du Libre en Fête se déroulera du samedi 2 mars au dimanche 7 avril inclus.

À l’occasion du Libre en Fête, tous les groupes d’utilisateurs et utilisatrices de logiciels libres, les espaces publics d’accès à Internet, les bibliothèques, les médiathèques, les clubs informatiques et toutes les associations et structures ayant à cœur la promotion du Libre sont invitées à organiser des évènements à destination du grand public. Le site du Libre en Fête donne toutes les informations nécessaires pour participer à l’initiative. Bien sûr, un événement peu avant le 2 mars ou un peu après le 7 avril 2019 est le bienvenu aussi.

Les événements organisés dans le cadre du Libre en Fête peuvent prendre de multiples formes : conférence de découverte, atelier d’initiation à un logiciel libre, à un service libre ou à un projet collaboratif comme Wikipédia ou OpenStreetMap, fête d’installation1, exposition de panneaux de sensibilisation comme par exemple l’Expolibre, mise à disposition de postes informatiques sous logiciel libre, de jeux vidéos libres… Bien sûr, il est possible de proposer plusieurs activités au sein d’une même journée de découverte. Et si un fond musical est prévu pour les moments les plus informels, le choix de morceaux diffusés sous licence libre est recommandé. Pour cette édition 2019, l’April propose la thématique optionnelle « la priorité au logiciel libre au quotidien ».

La coopération entre différentes structures au niveau local est vivement encouragée. Les groupes d’utilisateurs et utilisatrices de logiciels libres peuvent notamment apporter leurs connaissances et leur expertise, et les espaces d’initiation à l’informatique et ses enjeux sont des lieux propices à l’organisation d’évènements de découverte des logiciels libres. Ainsi, le Libre en Fête, c’est aussi l’occasion de nouer de nouveaux partenariats et/ou de renforcer des liens existants. Des liens utiles pour la recherche de partenaires sont disponibles sur le site de l’initiative.

Le référencement d’un événement dans le cadre du Libre en Fête se fait via l’Agenda du Libre, en ajoutant le mot-clé libre-en-fete-2019 lors de sa soumission.

Proposer un événement pour le Libre en Fête 2019

Une liste de diffusion a été mise en place pour que les structures participant à l’initiative puissent échanger leurs expériences et idées. L’inscription à cette liste est libre.

Pour toute question sur le Libre en Fête, il est possible de nous écrire.

Faites circuler cette annonce, merci !

Source april.org

Apéro April Marseille

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Un apéro April consiste à se réunir physiquement afin de se rencontrer, de faire plus ample connaissance, d’échanger, de partager un verre et de quoi manger mais aussi de discuter sur l’actualité et les actions de l’April.

Un apéro April est ouvert à toute personne qui souhaite venir, membre de l’April ou pas. N’hésitez pas à venir nous rencontrer.

Où et quand cela se passe-t-il?

L’apéro marseillais aura lieu vendredi 18 janvier 2019 à partir de 19h00 dans les locaux du Foyer du peuple 50 rue Brandis 13005 Marseille

Le glou et le miam?

Nous vous invitons donc à venir nous rejoindre dans une ambiance conviviale, à partager cet apéro, chacun porte quelque chose, boissons, grignotages… et on partage.

Entrée libre et gratuite.

Vous pouvez vous inscrire rendez-vous sur le pad